Il ne fallait rien moins que l’imagination hors normes de Tanya Hyde pour oser un tel film. D’emblée, ce sont des religieuses qui, dans les toilettes, se livrent séparément puis ensemble à une masturbation en règle, les doigts enfoncés dans la chatte et un gode dilatant à l’envi leur petit trou. Quant au prêtre qui les confesse, il leur donne l’absolution avec son « goupillon » que la bouche gourmande de ses ouailles engloutit avec avidité. C’est encore dans les toilettes d’un club qu’une inquiétante Junon – latex rouge et casquette – excite son clitoris, engame une verge anonyme qui s’offre à elle à travers le trou d’un mur avant de se retrouver, dans un fauteuil « gynéco », un gode monstrueux fiché dans l’anus.